Tic,
Tac, presque imperceptible
Mais
qui brise le mur de l'inconscient
Oh
oui je peux sentir l'inextinguible
Machine
qui marque régulièrement.
Je
la vois devant, derrière,
Qui
me suis, me précède, omniprésente.
Où
que j'aille dans l'univers
Elle
sera là, trop imposante.
Elle
transforme mes instants
En
souvenirs qui s'effacent,
Et
mes rêves d'enfants
En
présent qui terasse.
Toi
qui fait éclore,
Tu
fais également sécher.
Quels
vilains mécanismes
Animent
ton cœur régulier ?
Toi
qui tourne sans fin,
Loin
du repos que tu guettes.
Oui
toi qui te détestes,
Seras-tu
un jour un passé lointain ?