mardi 30 juillet 2013

Jazz-métro

On peut voir dans ses yeux
L'amour quelconque d'un dieu
Seul, bienveillant, et aimant dans les cieux

Quand elle est tombée sur Terre, il pleuvait
Qu'en a t il été quand j'ai commencé à pleurer
De voir en enfer une pareille beauté

Le charme qui n'a pas de mots
Vous rassure et comme un pull vous tiens chaud
Un pull humain, au cœur qui bat le jazz-métro

Et même si les nuages s'arrêtent d'avancer
Si les fleurs arrêtent de pousser
Si la lumière cesse de nous éclairer
Si les ancêtres ne peuvent plus nous parler
Je la veux pour toujours et à jamais

Les temples que je batis
Soutiendront et honorerons la vie
De papillons de nuit ou de lit.

Les découpages de fous decapités

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